Mais quelque fois, il arrive que la première partie, ce soit un peu comme une pochette surprise, et alors on est aussi émoustillés qu'un gamin qui ouvre sa pochette surprise. C'est cette excitation même que j'ai éprouvé lors de la première partie de Passion Pit en novembre dernier. Des chansons envoûtantes car chargées d'émotion.
Empressée que j'étais d'en écouter plus, j'écoutais aussitôt leur œuvre éponyme. Sorti en 2007, ce premier album est loin des mélodies magnétiques de la setlist qui était essentiellement composée de titres issus de leur nouvel album, sorti il y a tout juste une semaine, Sleep Mountain.
Cet album se présente un peu comme notre sève régénératrice made in Danemark qui s'ouvre d'ors et déjà sur un SDP qui regorge de sonorités tant gracieuses que lyriques. On apprécie la diversité instrumentale que recèle chacun des titres. Les quelques passages dignes d'emo bands des plus suspicieux (qu'on ne citera point pour la simple et bonne raison qu'on a oublié leurs noms) semblent avoir disparus sur ce second opus. Et laissent place à de magnifiques mélodies telle que le bouleversant Painter, avec son rythme incisif ou l'entraînant New Lipstick.
Un disque de pop baroque qui ne manque pas de faire voyager son auditeur dans des contrées fantastiques bien qu'empruntes de mélancolie.
L'ambiance mystique déjà perceptible sur scène n'est que renforcée par l'utilisation de chœurs et de cloches utilisées toujours à bon escient. Friendly Fire se révèle être une chanson adéquate pour un réveil en douceur et basculer dans la réalité. Pour se trouver submergé à nouveau par Whirr Of Wings. Sur Enemy, les voix résonnant comme un écho des deux chanteurs, Thomas Fagerlund et Soren B. Corneliussen font de cette fin d'album un havre de paix pour les amoureux des chants qui donnent le vertige et des frissons.
Alors tant pis si Pitchfork ne donne pas sa bénédiction à ce Sleep Mountain. Nos danois, même s'ils se peut bien que leur musique soit clairement inspirée par celle d'Arcade Fire, n'en restent pas moins originaux avec des chansons d'une authenticité indéniable.
Empressée que j'étais d'en écouter plus, j'écoutais aussitôt leur œuvre éponyme. Sorti en 2007, ce premier album est loin des mélodies magnétiques de la setlist qui était essentiellement composée de titres issus de leur nouvel album, sorti il y a tout juste une semaine, Sleep Mountain.
Cet album se présente un peu comme notre sève régénératrice made in Danemark qui s'ouvre d'ors et déjà sur un SDP qui regorge de sonorités tant gracieuses que lyriques. On apprécie la diversité instrumentale que recèle chacun des titres. Les quelques passages dignes d'emo bands des plus suspicieux (qu'on ne citera point pour la simple et bonne raison qu'on a oublié leurs noms) semblent avoir disparus sur ce second opus. Et laissent place à de magnifiques mélodies telle que le bouleversant Painter, avec son rythme incisif ou l'entraînant New Lipstick.
Un disque de pop baroque qui ne manque pas de faire voyager son auditeur dans des contrées fantastiques bien qu'empruntes de mélancolie.
L'ambiance mystique déjà perceptible sur scène n'est que renforcée par l'utilisation de chœurs et de cloches utilisées toujours à bon escient. Friendly Fire se révèle être une chanson adéquate pour un réveil en douceur et basculer dans la réalité. Pour se trouver submergé à nouveau par Whirr Of Wings. Sur Enemy, les voix résonnant comme un écho des deux chanteurs, Thomas Fagerlund et Soren B. Corneliussen font de cette fin d'album un havre de paix pour les amoureux des chants qui donnent le vertige et des frissons.
Alors tant pis si Pitchfork ne donne pas sa bénédiction à ce Sleep Mountain. Nos danois, même s'ils se peut bien que leur musique soit clairement inspirée par celle d'Arcade Fire, n'en restent pas moins originaux avec des chansons d'une authenticité indéniable.
The Cat Claw
Merci merci merci.
RépondreSupprimerJ'aime vraiment votre blog!